Qui ?

Bon…je ne suis pas sur Facebook (Note de janvier 2015 : j’y suis maintenant !) , je ne tweete pas. Et jusqu’à ce blog, je n’avais pas de présence sur internet, aucun endroit où consulter mon travail.

Bref, je n’existais pas…

A moins de passer pour un dinosaure aux yeux de mes enfants et un rigide psychotique aux yeux de mes pairs journalistes, la situation devenait intenable. Voilà donc un blog qui présente quelques-unes de mes productions. Comme j’écris lentement, j’espère qu’elles périssent moins vite. Pas la peine de revenir tous les jours, les actualisations seront rares, au rythme de mes publications. Ceci est avant tout une carte de visite.

C’était d’autant plus nécessaire que mon prénom et nom forment visiblement un tout d’un commun affligeant. Il y a un Olivier Bailly porte-parole de la Commission européenne, je l’ai rencontré et il est très sympa. Il a du faire un démenti assurant qu’il n’avait pas écrit le roman ‘Dis, petite salope, raconte-moi tout’. De mon côté, je reçois régulièrement des visites sur mon LinkedIn de stagiaires et lobbies européens.

Il  y a aussi un Olivier Bailly qui écrit sur Agoravox, ce qui me vaut d’être félicité pour des papiers que je n’écris pas. Il y en a un autre qui travaille dans une boite de prod’ et reçoit des mails qui me sont adressés. Déjà munis d’un patronyme passe-partout, nos parents nous ont donc sans pitié affublés du  prénom en vogue dans les années septante. Dans ma classe en primaire, nous étions cinq « Olivier ». Cela marque. C’est d’ailleurs sans doute pour cela que mes enfants se prénomment Raspoutine et Fleur-au-vent (non là c’est pas vrai).

Donc voilà, moi c’est l’autre. Olivier Bailly, journaliste, co-fondateur de Médor, auteur, à Bruxelles. Si vous avez croisé ma signature dans les pages de Médor, du Soir, du Monde Diplo, du Vif, de l’Echo, d’Imagine, de Politique, d’Alter Echos, c’était bien moi. Pas les autres.

Olivier Bailly

00 32 472 49 96 49   / olibailly – ahaaa !- gmail.com

Une réponse à “Qui ?

  1. Bonjour

    Je viens de lire votre article sur le monde diplo d octobre 2015 sur l utilité du DIH dans les conflits.
    Si vous cherchez de la documentation sachez qu un colombien docteur en droit international public a rédigé une thèse très complète sur la protection juridique de l otage en 2011.
    Jose luis Gomez de l université paris X Nanterre.
    Cordialement

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